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La tenue d’un agenda de la douleur passe par l'enregistrement des caractéristiques des douleurs chroniques et de leurs modifications (amélioration ou aggravation) sous l’effet de différents facteurs. En procédant de la sorte, cet agenda peut vous aider à mettre en avant certains facteurs déclenchants et à gérer vos douleurs ou vos crises, à l’instar de la crise migraineuse ou des douleurs articulaires1. Ainsi, tenir un agenda de la douleur sera notamment utile pour :
- Déterminer les conditions qui ont fait survenir ou accroître la douleur comme la température extérieure, certaines activités physiques, certaines odeurs, etc ;
- Comprendre les techniques de gestions efficaces comme la prise précoce d’un médicament antidouleur, l’application de froid ou de chaud ou d’huile essentielle à l’endroit de la douleur, certains étirements, etc ;
- Améliorer les transmissions des données entre patients et professionnels de santé.
Que doit-on noter dans l’agenda de la douleur ?
Il est important d’y consigner tout type d’information ayant un lien positif ou négatif avec la crise douloureuse. Ces informations comprennent notamment:
- La date et l’heure des douleurs ou des crises ;
- L’intensité et la durée de la douleur ;
- La localisation de la douleur ;
- Les activités récentes préalables à l’apparition des douleurs ;
- Son humeur au moment des douleurs (anxiété, stress, fatigue, etc.) ;
- Un changement dans son quotidien (nouveau parfum, etc.) ;
- Les effets des médicaments éventuellement pris ;
- Les effets d’autres techniques de soulagement utilisées (massage, etc.).
Que doit-on noter dans l’agenda de la douleur ?
Il est important d’y consigner tout type d’information ayant un lien positif ou négatif avec la crise douloureuse. Ces informations comprennent notamment:
- La date et l’heure des douleurs ou des crises ;
- L’intensité et la durée de la douleur ;
- La localisation de la douleur ;
- Les activités récentes préalables à l’apparition des douleurs ;
- Son humeur au moment des douleurs (anxiété, stress, fatigue, etc.) ;
- Un changement dans son quotidien (nouveau parfum, etc.) ;
- Les effets des médicaments éventuellement pris ;
- Les effets d’autres techniques de soulagement utilisées (massage, etc.).
Agenda de la douleur
Vous êtes sur mobile ou tablette?
Comment décrire une douleur ?
La précision est importante lorsque l’on décrit une douleur. Plus on est précis et mieux on pourra déterminer les facteurs favorisant la survenue ou l’aggravation des crises ou des douleurs. Ainsi, il faut y préciser :
- L’emplacement exact de la douleur (par exemple au niveau de l’arcade sourcilière gauche) ;
- La sensation de douleur (par exemple un picotement au niveau de la nuque) ;
- L’intensité de la douleur notée sur une échelle de 0 à 10 (0 représentant une intensité nulle et 10 une intensité insoutenable2) ;
- La durée de la douleur ou de la crise ;
- Les facteurs ayant permis de contenir ou de diminuer la douleur (par exemple l’application d’une compresse froide sur le genou) ;
- Les facteurs ayant aggravé la douleur (par exemple l’arrivée des menstruations) ;
- L’efficacité ou non de la médication utilisée (par exemple la prise de paracétamol).
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Présentation vidéo de l'agenda de la douleur avec Thomas Kassab
Sources :
1. D’après le magazine de la HAS intitulé « Évaluation et suivi de la douleur chronique chez l’adulte en médecine ambulatoire ». [En ligne]. Consulté le 18/11/2021. Disponible ici.
2. D’après le document de la HAS intitulé « Liste des échelles acceptées pour mesurer la douleur ». [En ligne]. Consulté le 18/11/2021. Disponible ici.